Biarritz. La seule, la magnifique. Nous y sommes restés quelques heures seulement, mais elles étaient magiques. Un soleil éblouissant, une température plus que clémente pour un premier novembre et des vagues qui font rêver du Rocher de la Vierge.
Des baigneurs fous sûrement. Moyenne d’âge élevée, rires nerveux, ils se sont tous mis à l’eau sans pleurer, sans même hésiter. Pffuu. On s’entend, il fait assez beau pour se promener au soleil en t-shirt, mais se mettre à l’eau, que dire, nager… c’est un autre courage.
Sûrement parmi les ports les mieux protégés de la Côte basque.
Je devrais peut-être travailler mes photos, mais comme je n’utilise pas Photoshop, ça sort comme ça peut. Cependant, parfois, j’aime le rendu… comme cette image de la grande plage de Biarritz qui a un petit air vieillot.
Avez-vous déjà vu… des glaces « mauvais goût »?
Chauds, chauds, ils sont chauds mes marrons. Plongeon immédiat vers l’enfance.
Charmants restaurant La Humade. Esprit Bodega, repas sympa à un prix raisonnable, à quelques mètres du Rocher de la Vierge. Recommandable, recommandé.
Découverte gustative, l’étonnant gateau basque de chez Henriet. Punaise, quand tu l’as goûté, l’appellation gâteau basque n’a plus le même sens. À tomber. En fait, il devait être quelque part dans ma mémoire pour que je trouve les ersatz du même nom franchement sans intérêt. Quand aux macarons du chocolatier Maison Adam… pareil, à se damner. En prime, une boîte en métal – oui oui, j’ai aussi un faible sur les boites en fer, un autre – vert lime avec la jolie croix basque comme logo. Un cadeau parfait.
Je laisse à F. le mot de la fin. Il sait de quoi il parle, il est presque autochtone… « Le Pays Basque, c’est quitte ou double. Tu viens, il fait un temps de rêve et n’as qu’une envie, revenir au plus vite. Ou bien, il pleut pendant les trois semaines de ton séjour, et tu fais comme tout le monde, l’année suivante, tu pars dans le Var! »