– les pommes
– mon lit
– les dimanches avec Emilien
– les impros de souper avec les Aniorte, les Pat & Anne, les Hélène, les Nana
– les amis, en fait, les activités, les moments partagés avec les amis: Catherine et Yacine, Véro et Romain, et tous les autres…
– les voisins avec lesquels nous n’avons plus de contacts, forcément : Izzy, ah Izzy.
– non, pas la neige, pas le froid, pas pour moi 😉
– mon vélo
– ma routine de course à pied
… rien de grave finalement, je suis prête à m’adapter n’importe où, non?
J’ai lu aujourd’hui, cette jolie pensée de Mohamed Zouzi Chebbi : « N’étant pas nihiliste, j’ai plaisir à concéder que le langage un peu libertin admet ce terme comme expression de l’amour courtois où l’on se plaît à flatter et à valoriser son prochain, avant de le conduire à l’abattoir de notre égo désirant et tyrannique, mais si la pensée est, comme la respiration, une condition d’exister, je me permets, chers (es) concitoyens de la cité idéale, qui, hélas, n’a jamais existé que dans notre imaginaire torturé par la déception fade du réel, de prendre le contre-pied de cette affirmation pour vous dire: O mes chers (es) indispensables, inestimables, et nobles amis (es) que vous NE ME MANQUEZ PAS, car vous êtes, à jamais et pour l’éternité de mon âme immortelle, inscrits (es) dans le recoins les plus secrets de mon coeur. Alors, pour l’amour de l’Amour, séchez vos larmes crocodilesques, et daignez rire et réussissez à me faire rire. »