Évidemment, le court séjour des filles ne pouvaient s’arrêter à quelques centaines de km parcourus. Nous en avons ajouté une louche avec une dernière escapade à Biarritz. Un autre de nos coups de coeur du sud-ouest à 2h de route de notre campagne. Ce n’est pas une semaine très écologique, mais rien de grave à côté des trains de camions que nous avons doublé sur l’autoroute. Non je n’exagère pas, à partir de 30 poids lourds qui se suivent, on peut dire « train »!

Pas de surfeurs, faute de vagues! Pas de baigneurs, l’eau encore hivernale est plus que tonifiante. Mais Georges Pernoud, le producteur et animateur de Thalassa, mon ancienne émission culte, du temps où je regardais encore la télé. Comme je ne suis pas groupie pour deux sous, j’ai oublié d’aller lui demander photo et autographe. Fred l’a salué avec un bon mot, auquel le maquillé personnage – passage à l’antenne oblige – a répondu de manière parfaitement inintéressante. Encore un mythe déboulonné.

Nous avons un talent étonnant pour chercher un resto autour de 16:00. Mauvaise idée: entre le service du midi et celui du soir, ils sont tous fermés. Tous… sauf le Caritz dont la cuisine est ouverte de midi… à minuit sans interruption. Gens aussi peu organisés que nous, pensez-y. L’endroit offre une terrasse avec vue sur la mer. Ouais. Ju a enfin mangé  les moules frites dont elle rêvait, et Marge des noix de Saint-Jacques dans une surprenante purée de carottes. Mon pavé de maigre était parfait. Décidément, ce poisson est à connaître.

Une bien belle journée ma foi, pour conclure une chouette semaine, néanmoins… intense.