Je ne compte plus depuis quand je la connais… Odile a été une maman d’adoption a une période de ma vie où j’en manquais cruellement. Ça doit être pour cela qu’on se ressemble tant, m’a dit Fred. Intelligente et drôle, sa bienveillance absolue m’a aidé à grandir. (ok, les mauvais esprits, je n’ai peut-être pas dépassé le mètre et demi – je dépasse quand même le standard du poney paraît-il – mais tout le monde voit ce que je veux dire).
Après ses années lilloises, Odile vit à 20 minutes de Nîmes. En pleine campagne, au coeur d’une hameau qui compte 4 maisons (3 de la même famille) avec six chevaux entraînés pour des parcours d’endurance – jusqu’à 160 km pour les distances les plus longues. « Ceux qui franchissent la ligne d’arrivée ont déjà accompli un exploit » commente Odile.
De quoi rendre les enfants heureux: Catou, maman de Monsieur, Taïa, maman de Rita, Victoire – ma préférée, une opinion que ne partage pas le reste de la troupe équine – et Djema, absent pour cause de compétition.
Joseph fait tout : il s’occupe de l’entretien, ferre, réalise ses selles, attelle (Victoire uniquement), déplace les bêtes jusqu’aux courses et monte (deux blessures très sévères ont ralenti ses participations). De son côté, Frede..rickshaw
bientôt imité par son fils…
En ce magnifique 4 mars, Odile nous a invité à déjeuner/ dîner dehors… Ouais. C’est aussi ça le Languedoc, du vent, beaucoup de vent, mais tout autant de soleil. D’ailleurs, contrairement à notre campagne qui n’a jamais déverdit, la plaine nîmoise est sèche de chez archisèche.
Cookie ne lâche pas Zazoo du regard