Quelle expression ! Directement inspirée du It’s a Go, anglais. Le Québec est comme ça : il se réclame de la préservation du français, mais n’hésite pas à se souvenir de sa profonde proximité des États-unis et de ses centaines de millions d’anglophones. Un long débat.
Pendant ce temps, je vais apprendre à démarrer chaque matin avec une routine d’écriture. Un défi que je me suis donné, comme ça. Au milieu de nulle part. Un projet très différent d’Une photo par jour, réalisé les 365 premiers jours de l’an 2000, histoire de marquer le changement de siècle. Là, j’aimerais plutôt me délier les doigts autour d’idées sottes et grenues : mon quotidien, celui des autres, la vie comme on la commente au comptoir d’un bistro. Je pars en plein brouillard et c’est très bien.
Mince, 124 mots. Ça va vite.
100 mots, ça va être dur !!! comment tu vas faire ?
Tu doutes ? sur la longueur, la pertinence, la régularité ? Je suis déjà affligée par la vitesse à laquelle j’écris les 100 mots… et je n’ai pas encore attaqué la cinquantaine de sujets que je me suis mis de côté pour les jours de disette d’idées !!