Ah ah, des voeux ? Pourquoi faire. Tout le monde en écrit, et bien mieux que moi. Peut-être est-ce la peur de la fin du monde qui multiplie les souhaits envoyés en cette première journée de 2013. Ils pleuvent, dans les médias, sur les réseaux sociaux, chacun y va de sa phrase, toujours gentille et appréciable. Impression de déjà lu…
Après, nouveauté dans ma vie, j’ai reçu plein de voeux par SMS. Ça, c’est très chouette. Effet carte, en version moderne. Personnel, inspiré, sincère. J’adore. Ça me touche.
Puis, je suis tombée là-dessus (merci Brigitte):
Je ris encore, entre deux étourdissements, quelques paquets de mouchoirs, et la sale impression que ma tête – côté sinus – va exploser si je bouge. Lendemain de veille ? Non, grippe. L’effet est presque le même finalement, sans le champagne et les bisous de minuit. C’est là, que nous avons décidé de nous pousser au sublime soleil hivernal.
Direction, le pont levant – Chaban Delmas, de son petit nom – accessible au public pour l’occasion, trois mois avant son ouverture officielle aux voitures.
38000 personnes ont eu la même idée. Histoire de se sentir moins seules, j’imagine. De prendre l’air de 2013. De se remettre des émotions de 2012 en déambulant sur un lieu neuf de toute histoire. Convivial, familial. Sympathique, quoi. Pour l’ado domestique, aucun intérêt. Elle a râlé tout le long, confirmant son identité profondément gauloise !
La pluie a commencé au moment où nous avons fermé les portes de la voiture. Bon augure. La chance nous sourira. Ce qui me donne envie de transmettre ces magnifiques voeux de Jacques Brel (merci Grégory).
A large i would like to show some gratitude to your own article. Much thank you again. Great.