Montréal. Capitale absolue de la vitesse de déneigement après une tempête. Je ne connais plus les chiffres, qui diffèrent d’un quartier à l’autre, mais je vous le dis. La statistique se vérifie.
Le Pas de la Case, Andorre. Pas pareil.
« Il y a 15 ans, c’était différent » m’affirme la gentille demoiselle de l’agence de location. « Maintenant, le déneigement est privé, » conclue-t-elle en guise d’explication.
Résultat, les escaliers ne sont pas nettoyés. Les rues non plus, sans parler des trottoirs. Les voitures se plantent allègrement dans les poteaux. La plupart n’a pas pris le soin de se munir de chaînes ou de capotes (des espèces de chaussettes qu’on enfile sur les pneus), et c’est le carton dans les rues de la Principauté.
Nous, on s’en fout. Le vent souffle à plus de 60 km/h. Certaines rues sont impraticables. Vite, on se réfugie dans un bar à tapas. Il fait chaud.
amis Montréalais, ci-dessus un escalier ! La Québécoise en moi en a frisé d’inquiétude 😉