Dutronc aimait les femmes, moi, j’aime les portes, fenêtres et autres huisseries. Je l’ai déjà écrit, et je ne m’en lasse pas. De celles qui s’ouvrent sur le monde, qui accueillent les visiteurs, qui se ferment sur le passé… J’aime les bois vermoulus, les toits moussus, les traces de vrillettes, les défauts de la pierre, les charpentes maladroites, la nature qui reprend ses droits. Bien sûr, je n’y vivrais pas, mais tous ces détails sont si jolis à regarder. Ici, en Dordogne.