après 18 heures de travail acharné (sur 4 jours)… j’ai fini ! yes. yes. re-yes. Je ne me peux plus. Je suis trop trop contente. Enfin après, on se calme. J’ai terminé le décollage de papier peint. Oh non, mince. Il en reste. Bon enfin, j’ai décollé le papier peint de 4 chambres, 1 walk-in, 1 couloir et… une salle de bain. Demain, je rencontre une nouvelle amie : la ponceuse (sableuse) de parquet (plancher).
maintenant, je suis défoncée, raide. Pour éradiquer le papier, découragée que j’étais, j’ai ajouté un solvant vendu exprès. Waouh, le solvant, toi. Envoyé à la puissance vapeur, dans une petite salle de bain archi humide (et oui, la vapeur), les naseaux dilatés, je ne vous explique pas l’effet. Je me cramponnais à mon échelle (déjà mise à mal par le manque d’espace). Fabienne Thibault avait sûrement décollé du papier peint elle aussi, avant de chanter « stone, le monde est stone » dans Starmania.
j’avoue, j’aurais adoré utiliser ce produit. Non Québécois s’abstenir 😉 merci ma Nana favorite.
toute la journée, toute seule à l’étage, je me suis fait quelques variations sur les mètres carrés, des lés et autres considérations de rénovation. Ou combien j’ai décollé de papier peint en quatre jours ? Bon, disons 60m2 de surface au sol. Boy, ça fait combien de mètres carré de murs ça ? Sur 3,20m de haut (12 pieds ?) J’aurais pu être bonne en maths (j’ai été excellente), et puis il y a eu les hommes et la littérature, deux bonnes raisons de plomber les sciences. Quelle tarte !
j’ai opté pour une autre question essentielle : qui du papier peint ou du mur tient l’autre ? Une évidence en voyant le mur du couloir prendre une certaine courbe à chaque centimètre enlevé de tapisserie. À suivre. Je ne garantis pas la survie du mur.
enfin, je me délecte du top 50 de Virgin radio. Mon plaisir coupable ? Mon péché mignon ? Pantoute (pas du tout). Ça me gonfle à mort, mais c’est la seule station écoutable que je capte, alors j’entends. D’une daube pop à l’autre. Je fredonne parfois. Si. Même pas honte. Enfin, seulement des fois. Bien sûr, il reste France culture (audible même sur Mars), mais pour décoller le papier, ça manque de rythme ! Quant à RFM, un agglomérat des années 80′. C’est bon, j’ai donné à l’époque, pas besoin de redux.
perdue dans mes réflexions, j’ai oublié de prendre des photos. Quelle blaireaute…